VERS LA NUIT

 

 

 

RÉALISATION: VALERIE OSOUF

DOCUMENTAIRE LONG METRAGE

EN PRODUCTION

COPRODUCTION LES FILMS DU DJABADJAH,
KARAKEZI FILM PRODUCTION (RWANDA) ET GAIJIN (FRANCE)

De dos, un jeune homme arrête une moto-taxi, monte à l’arrière après avoir mis le casque rouge et s’éloigne sur les hauteurs de la ville au coucher du soleil.
Il descend au bord d’une route, s’enfonce dans un champ, ouvre un bâtiment en terre, disparaît mystérieusement
La nuit est noire. Un motard en blouson de cuir bonnet, casque et gants sort de la baraque de terre, remonte la pente entourée de bananiers et descend vers la ville aux collines illuminées.
Une série de rencontres souvent poétiques, de surprises et de conversations entre le motard et ses passagers : étudiants, prostituées, fonctionnaires, pauvres, bourgeois, artistes, mères de famille, élèves… de tous âges et de classes sociales très variées, dessinant ainsi en mosaïque une topographie des habitants de la ville, dans ses différents quartiers.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

VERS LA NUIT

 

RÉALISATION: VALERIE OSOUF

DOCUMENTAIRE LONG METRAGE

EN PRODUCTION

COPRODUCTION LES FILMS DU DJABADJAH,
KARAKEZI FILM PRODUCTION (RWANDA) ET GAIJIN (FRANCE)

De dos, un jeune homme arrête une moto-taxi, monte à l’arrière après avoir mis le casque rouge et s’éloigne sur les hauteurs de la ville au coucher du soleil.
Il descend au bord d’une route, s’enfonce dans un champ, ouvre un bâtiment en terre, disparaît mystérieusement
La nuit est noire. Un motard en blouson de cuir bonnet, casque et gants sort de la baraque de terre, remonte la pente entourée de bananiers et descend vers la ville aux collines illuminées.
Une série de rencontres souvent poétiques, de surprises et de conversations entre le motard et ses passagers : étudiants, prostituées, fonctionnaires, pauvres, bourgeois, artistes, mères de famille, élèves… de tous âges et de classes sociales très variées, dessinant ainsi en mosaïque une topographie des habitants de la ville, dans ses différents quartiers.